segunda-feira, 1 de outubro de 2018




Une maison des vents murmurants
NinoBellieny


J'ai eu des rêves étranges dans les derniers jours, des nuits de réveil dans les océans de sueur après avoir navigué là où je ne suis jamais allé. J'ai fait de gros cauchemars, des morts-vivants dormant en paix, des chats et des chiens voilant et ma tristesse de statue sans rien à faire.
Je n'ai pas dit au revoir, je me suis disloqué, c'est donc ce tissu fabriqué par le métier de la destinée froide comme la seule pluie que je désirais.

La musique de la mer au loin vient à voix basse, l'après-midi nuageux, les pourparlers morts de la femme ne me aime, le quartier général de tuer l'oiseau dans la piscine à débordement, une colombe blanche de bois perçu le dernier jour.

Le dernier jour, le meilleur sourire et je peux dire que c'était oui. J'ai rêvé de tant de départs et je ne soupçonnais pas non plus cette fin. Sans le chant de cette voix, j'appuie sur.
Malheureusement, chers amis, ce n’est pas d’avoir aimé personne dans ce film dont le réalisateur ne révèle que le rôle au moment du tournage.
J'ai adoré Tout le reste est petit près de cette scène en noir et blanc et un piano, gémissant doucement dans le grenier de mon esprit se rappeler le camion qui klaxonnent appeler pour moi.



A casa dos ventos sussurrantes 
NinoBellieny

Tive sonhos estranhos nos últimos dias, noites de acordar em oceanos de suor depois de ter navegado onde nunca estive. Tive pesadelos pesados, mortos queridos dormindo em paz, gatos e cães velando e a minha tristeza de estátua sem nada poder fazer.
Não me despedi, só me despedacei, assim tem sido este tecido feito pelo tear do destino frio como a única chuva que tanto desejei.

A música do mar ao longe chega em murmúrios, a tarde nublada, a fala calada da mulher que não mais me ama, o pássaro matando a sede na piscina infinita, uma pomba branca de madeira percebida no último dia.

No último dia o melhor sorriso e eu puder dizer que era sim. Eu sonhei com tantas partidas, nem desconfiava daquele fim. Sem a canção daquela voz, prossigo.
Triste mesmo, meus caros amigos, é não ter amado ninguém nesta vida de cinema cujo diretor só revela o papel na hora da filmagem.
Eu amei. Tudo o mais é pequeno perto desta cena em preto e branco e um piano gemendo baixinho no sotão da minha mente vem lembrar-me do caminhão de mudanças a buzinar chamando por mim.